Nyo Brocélôme [fini]

Caractère : Je suis de natif serviable et gentil malgré si, mon comportement est quelque peu lunatique. Je suis également un Pokémon courageux, des plus intrépides, ce qui fait de moi quelqu'un d'insouciant par moment... J'éprouve un véritable intérêt pour tout ce qui m'entoure jusqu’à expérimentés tout en analysant ce qui suscite ma curiosité.  Maman me disais toujours : « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l'univers et les dieux ». Mais je préfère découvrir l'univers pour finalement me connaître. Je n'ai jamais été très obéissant, père dit que c'est une bonne chose mais maman pense le contraire, mais comme disait ce dernier : « Tout grandit dans l'opposition ». Les conseils avisés de mes parents font partit intégrante de mon éthique. Je suis très fidèle, prêt à tout pour mes amis ayant une confiance aveugle en eux. Principalement en Vipélierre qui est comme un frère pour moi, on se connaît depuis que nous sommes sortis de l’œuf.


Apparence : On m'a souvent dit que je ressemblais à ma mère, mais malgré moi je ne voyait aucune ressemblances entre elle et moi, sauf peut-être la forme de l'écorce présente sur ma tête, mais cette dernière est enduit de couleur grisâtre, la pigmentation est donc différente, puisque celle de mère est plus sombre comme le bois du reste des arbres de la forêt. Une minuscule fente sépare mon minois en deux parties symétriques par ailleurs, je le trouve étonnamment élégant et raffiné. Mon visage étant muni de mes grand yeux dont l'iris était coloré d'un bleu intense pareillement à celui du ciel, mais leur couleur diffère du rouge austère et terrifiant de mes ascendants. Mes branches sont ornés de quelques feuilles qui sont anormalement teinté de rouges qui, elles, devraient être vertes...  Cependant le reste de mon corps est noir comme celui de ma famille, c'est la seul teinte de mon corps que je peut associé à mes semblables. Je mesure une quarantaine de centimètre et je pèse près de 7 kilos enfin... Mon écorce... Puisque je suis un spectre... Forte heureusement pour moi mes différences probante ne furent jamais jugé ou discriminé, je vivais presque s'en me rendre compte de ma propre différence.


Histoire : J'ai toujours vécu dans un petit bois reclus ce situant sur l'île de « Sole », je crois que c'est le nom que les humains lui ont donné. Je les déteste tous, depuis fort longtemps... Un jour avec Vio, mon frèro Vipélierre, nous nous étions aventurés un peu trop loin dans la forêt, ce jour nous avions rencontré pour la première fois des humains. Malgré les recommandations et interdictions de nos parents, nous décidâmes tout de même d'aller les observer de plus prés. Une jeune fille avait retenu particulièrement mon attention, elle dégageait un quelque chose de spécial. Je fis en sorte d'attirer son attention pendant ce temps Vio effrayé restait en retrait. Elle finis par me voir, nous avions échangé quelques regards plus ou moins complices mais qui ne dura guère longtemps,  nous fûmes séparé par un essaim d'Apitrini. Ce n'était pas un hasard, c'était père, il n'appréciait en aucun cas les humains. Toutefois il avait développé un lien extrêmement fort avec tout les Pokémons de la forêt environnante. Il était connu et respecté de tous, surtout d'une ruche d'Apitrini qui vivait dans le sein de son écorce depuis de très longues années, ce qui lui valait le surnom de Ruchéliande. Tout cela lui permettait d'être au courant de tout ce qui se passait dans la forêt. Je l'enviai beaucoup sur ce point. Depuis cette escapade, malgré notre jeune age, 8 mois, Vio et moi-même y sommes retourné et perdu de nombreuses fois, nous voulions à cette époque, seulement retrouver le village de la petite fille. Mais nous ne l'avons jamais retrouvé... Lors de ce qui allait être notre dernière recherche, bravant les prohibitions de nos parents, nous avons rencontré un groupe d'hommes. Ils étaient accompagnés de plusieurs Démolosses, sans trop faire attention comme par mon habitude, j'étais allé à leur rencontre. En moins de temps, qu'il ne faut pour le dire, ils nous avaient encerclé. Ils avaient mis encore moins de temps pour dénicher Vio encore cacher dans un des buissons. Il me lança un regard de grand frère protecteur, qui disait beaucoup de chose et principalement : « Je fais diversion, va t'en. ». Il utilisa instinctivement son attaque : Groz'Yeux, ce qui les distrayait juste assez de temps pour que je puisse m'enfuir, seul. Après quelques temps, je me suis retourné et ai vu, au loin, une Poké-ball, s'écraser sur son visage étourdi, puis l'aspirer. J'ai crié de ma voix, la plus anéanti : « Je reviendrait te chercher. ». Une fois que j'étais arrivé prés de père et mère, j'étais tout tremblant mes yeux laissaient s'échapper un fluide c'était la première fois... je pleurais. Je leur avait tout raconté, je m'étais fais légitimement grondé et punis mais la plus grosse souffrance qui m'accablais était celle d'avoir abandonné Vio. Ce fut seulement deux mois après l’enlèvement de Vio, vers mes 10 mois que mon père avait commencer à opter pour un comportement bizarre, il semblait affaibli... Pour cause, les humains avaient commencer une chasse dans notre forêt. Ils brûlaient et abîmaient celle-ci. Ils étaient à la recherche d'un Brocélôme shiney, d'après mes compagnons. Nous ne savions bien sûr pas qui il était, j’avais espéré qu'un jour j'aurais pu le rencontrer afin de querrir son aide pour affronter les humains et par la même occasion, sauver Vio. Ils sont comme à leur habitude arrivaient rapidement à ce qui ce rapporté le plus à ma maison, le lieu de vie qui était celui de toute ma famille ainsi que d'un monceau de Pokémon de la forêt. Ils avait ravagé, tué et brûlé tout ceux-ci, ceux que je connaissais jusqu'à ce jour, fussent soit tués soit capturés. Avant de rendre son dernier soupir, père m'avait confié à son essaim d'Apitrini, tout en avouant que j'étais celui que les humains chassaient. Escorté par cet petit armada, nous étions partis de l'île de « Sole » en direction d'une autre île (l'île de Nolia), dont j'ignore le nom. À présent, nous errons sur cette île en espérant trouver un foyer en vue échapper aux humains.